Une femme, deux hommes, et tous les ingrédients éprouvés d'Offenbach pour réussir une aventure rocambolesque et ingénieuse : dépaysement péruvien ; boléro, séguedilles et autres espagnolades enjouées ; héroïne haute en couleur ; intrigue amoureuse contrariée et tequilla... Le tout accompagné de quiproquos en cascades qui ne feront pas perdre à l'héroïne sa lucidité si l'on en juge par son irrésistible : "Ah ! Que les hommes sont bêtes". Bref, une atmosphère au diapason de la sensibilité épicée d'
Omar Porras.